| | (m) E. Peters •• « nothing works without her, here ! None of this ! » | |
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❝C. Lucy Duncan❞ THE MAD GINGER ϟ CAPSLOCK HOLMES. ➜ Métier : étudiante en graphisme et design par correspondance avec QSan Francisco, stagiaire à la mise en page du journal de Sunnyside, et future animatrice sur la radio pirate. Accessoirement chieuse à plein temps et co-fondatrice du fan club du gros chat blanc qui danse.. ➜ Age : 21 ans. ➜ Statut : j'aime les pingouins. ➜ Messages : 151
| Sujet: (m) E. Peters •• « nothing works without her, here ! None of this ! » Dim 22 Juil - 11:44 | |
| jake, au choix au choix you keep your secrets hope to die, promises swear them to the sky. ÂGE: 21 ans, non négociable, car lui et Lucy étant dans le même service à la pension psychiatrique où ils étaient, il faut plus ou moins qu'ils aient le même âge :<3: EMPLOI: Jake est sorti il y a un peu plus d'un an de son HP à San Francisco, et vient à peine de débarquer à Sunnyside, il ne travaille donc pas encore. Puis y'en a pas beaucoup des emplois qui demandent "psychopathe suivi psychologiquement" en qualifications ORIGINES: Peut importe mais il vit aux Etats Unis (plus précisément à San Francisco) depuis toujours, même si il a déménagé à Sunnyside il y a peu. AVATAR: Evan Peters, non négociable car il est juste trop trop chou et tellement adapté au personnage. . | STATUT: Jake est céliba... Enfin, plus ou moins en couple avec Lucy. Dans sa tête. Ou pas. Bref, c'est compliqué. En tout cas il est genre fou amoureux de Lucy, un truc de ouf. Il ne sait juste pas qu'elle le considère comme un peu plus que son meilleur ami... ORIENTATION SEXUELLE: Hétéro ou bisexuel. GROUPE: Up to you, en fonction de l'histoire mais j'vois bien jerk it out. COPYRIGHT: tumblr ceylavie. et jotem sugar slaughter, et izzy. |
Kikoo ! (Lol, non j'dis jamais kikoo hein, oublie ) J'espère déjà que mon Jake t'as intéressé, il est super super important dans la vie de ma Lucy alors continue de lire tu vas pas le regretter Voilà je laisse l'histoire plus ou moins libre, y'a juste quelques points à respecter pour cerner parfaitement le personnage de Jake. → Jake est quelqu'un de vraiment mystérieux. Pas en mode le beau brun ténébreux (il reste du café sans sucre ? ) Non il ne raconte jamais sa vie, à personne. Même pas à Lucy. Lucy ne sait pas pourquoi il s'est retrouvé en hôpital psychiatrique avec elle. → Lorsque Lucy a été internée à Violet's Pension, il y a cinq ans, Jake était déjà là bas, et était connu de tous, savait se faire respecter. L' "évènement" qui a causé son internement doit donc être arrivé avant. → Pour la cause, j'avais pensé à un truc grave, genre qu'il était schizophrène et qu'il avait tué plusieurs personnes, truc du genre. Mais c'est vraiment au choix, j'veux juste qu'il ai fait un truc un peu flippant, qu'il voudrait à tout prix cacher à Lucy pour ne pas l'effrayer. → Jake est quelqu'un de drôle, de fidèle... Mais sauf avec Lucy. Elle est un peu son point faible (oui ça fait chelou quand j'le dis comme ça ), la seule dont il est proche, la seule qu'il aime, la seule personne pour laquelle il ferait tout. En gros il est super amoureux de Lucy, a tel point qu'il a envie de devenir meilleur pour elle (si c'est pas mignon ). → Lucy est arrivée à Violet's vers ses seize ans et s'est tout de suite liée d'amitié avec Jake (voir passage de ma fiche dans le lien), le considérant comme le meilleur ami qu'elle n'aie jamais eu. Seulement, une nuit, elle a voulu s'évader. Jake lui a avoué qu'il l'aimait, et l'a embrassée. Et Lucy ne sait plus où elle en est depuis ce jour, car elle aime encore son ex, mais est en train de tomber amoureuse de Jake. Bref, c'est la merde. you and i.lucy duncan & jake Lucy et Jake se sont rencontrés à l'hôptial psychiatrique. Lucy s'est très vite attachée au blondinet, elle qui d'habitude n'aime personne. Elle sait qu'il l'aime, et, même si elle ne l'avouera peut être jamais, elle est un peu amoureuse de lui aussi. Depuis que Lucy a décidé de fuir San Francisco pour échapper à son père, Jake était au plus bas. Il a donc pris la décision d'aller à Sunnyside, pour retrouver sa Lucy.Je vous colle ici les parties de ma fiche où je parle de Jake, soit : leur rencontre, la nuit où Lucy a décidé de fuguer, et la partie où jake lui a avoué qu'il l'aimait. Mais si vous avez la flemme de lire, sachez que Jake est raide dingue de Lucy qui, elle, ne sait rien de son passé psychiatrique (alors que Jake connaît l'histoire de Lucy sur le bout des doigts). Lucy n'est pas au courant que Jake a décidé de venir à Sunnyside pour la retrouver, cette partie se jouera en RP. Et Jake n'a aucun problème pour dire à Lucy qu'elle serait mieux avec lui au lieu de penser à son connard d'ex. En gros, il la veut pour lui tout seul, mais les choses vont vite se compliquer (voir le lien plus bas avec Hyde). - Spoiler:
Étouffée, oppressée. Un sentiment de malaise constant et une envie de fuir. C'était ce que je ressentais tous les jours à Violet's pension, l'hôpital psychiatrique où j'ai été placée. Je ne pensais qu'à une chose, une seule : partir et retourner chez moi, tranquillement. Oui, j'allais mal, et alors ? C'était mon problème, pas le leur. J'aimais pas la façon que les médecins avaient de vouloir m'interroger tout le temps sur tout, ces fouineurs. Le pire de tout, c’est que je n'avais même pas à me plaindre ! Franchement. L'hosto était génial, spacieux et confortable, les patients étaient pas trop chiants et le personnel adorable. Pourtant, je me comportais en vraie enfant gâtée, en petite peste, envoyant chier tout le monde, toujours la mine renfrognée. Je me confiais jamais aux psys. Pour quoi faire, leur dire que j'étais orpheline et que, n'étant pas encore majeure, je vivais en hors-la-loi dans ma propre maison? Je voulais pas aller en foyer moi. Déjà que j'étouffais à l'HP, ça aurait été pire. Tout le monde, surtout les psys, voulaient savoir l'origine des cicatrices qui ornaient mes poignets, comme si ils ne s'en doutaient pas. Si ils croyaient que j'allais leur dire que j'étais anéantie à cause d'un mec qui m'avait larguée sans raison, que j'aimais toujours soit dit en passant alors que ça faisait presque deux ans déjà, et qu'en plus ma hippie de mère est morte en me laissant toute seule, ils rêvaient. J'allais deux fois par jour chez le psy, une à 10h et une à 18h, ça allait mais comme je parlais pas, c'était.. relativement long. Mais j'avais pas à me plaindre, par rapport à d'autres. Jake, par exemple, il allait chez le psy presque quatre fois par jour. Tiens, parlons en de lui. Jake, c'était un peu mon seul pote dans cet hosto de merde, le meilleur en fait. Un jour, le deuxième jour de mon internement en fait, un mec est venu et m'a cherché des noises. Il a commencé à m'empoigner par le col, et il était costaud le type. Bien sûr, j'avais pas l'intention de me laisser faire, je me débattais comme une furie, mais mes pieds ne touchaient déjà plus le sol alors qu'il me soulevait. Je commençais un peu à paniquer, aucune infirmière dans les parages. C'est alors que Jake surgit, comme un fantôme. Je l'avais pas vu arriver. Il faisait une tête de moins que le type, et je me demandais même si il était pas plus petit que moi, mais son regard... On aurait dit qu'il lançait du feu. D'une voix froide, il a décrété au type : « Lâche la, Nick. Immédiatement. » « Oh, ça va, je voulais juste m'amuser un peu avec la nouvelle, Jake ! » Rétorqua l'autre type d'un ton bourru. Mais la brute se ravisa bien vite, dès que Jake croisa les bras, son regard encore plus ardent. Il n'avait rien fait, et pourtant je savais que le type qui me tenait par le col de mon chemisier flippait grave. Impressive. Il me lâcha d'un coup, et je tombai sur le sol sans rien dire. L'autre type s'est barré en courant, et moi je restait par terre, hébétée. Jake m'a tendu sa main et m'a aidé à me lever, je le remerciai dans un murmure en reprenant mes esprits. C'était une des premières fois où je restais presque sans voix devant quelqu'un. En fait, la seule fois où ça m'était arrivé, c'était devant Hyde, le jour où il m'a larguée. J'en arrivais toujours à penser à celui là, décidément, mais sur le coup je me suis concentrée sur ce mec un peu chelou qui me souriait timidement. « Désolé, ça arrive pas souvent d'habitude. Nick est pas méchant, juste taquin. Et bienvenue à Violet's, la rouquine. » Lol, rouquine quoi. Il commençait bien celui là. Ma voix est revenue en un rien de temps. « Déjà, tu éviteras l'allusion à mes cheveux avec le plat de spaghetti que tu te trimbales sur la tête. Et moi, c'est Lucy. » Je perds jamais le nord, enfin presque jamais. Jake s'est contenté d'un rire franc, pour sa part. « J'sens que j'vais bien m'amuser avec toi, rouquine. » Bref, c'est comme ça qu'on a fait connaissance, lui et moi. C'est vite devenu un ami, à la pension, on était toujours fourrés ensemble à se charrier, mais au fond on s'adorait comme pas possible. Il s'est jamais montré perturbé en ma présence, d'ailleurs je savais même pas pourquoi il était là. Quand je demandais au personnel de l'hôpital, ils se bornaient à me répéter que c'était sous secret professionnel, et lorsque je lui demandais, il se renfrognait et ne me parlait pas pendant quelques heures. Alors je ne ramenais plus le sujet sur le tapis, car je pouvais plus me passer de sa présence. Mais je vous l'avoue, ça me frustrait. J'ai toujours voulu tout savoir, puis il a progressivement tout su de moi, lui. Comment j'étais encore amoureuse de Hyde, comment ma mère est morte, ma dépression, mes visions. Il n'avait pas l'air de trouver ça bizarre, il m'écoutait. Ce que moi je trouvais bizarre, c'était la facilité avec laquelle je me confiais à lui, la rapidité avec laquelle je m'attachais à lui. D'habitude, je me lie pas aussi facilement avec les gens, mais lui... Il était différent, en fait. Et peu importe le fait que je ne savais pas pourquoi il était interné avec moi, je me sentais bien en sa présence. Il était mon soutient à Violet's. Mon seul soutien, en fait. Au bout de deux ans là bas, je sentais que je commençais à aller mieux, sûrement grâce à Jake d'ailleurs. J'avais plus aucun symptôme de dépression, je ne me scarifiais plus. Bon, je vous mentirais si je vous disais que j'étais dans un état de béatitude constante, il m'arrivait souvent de rechuter, mais en général ça allait. Mon corps et mon esprit cicatrisaient. Mais j'avais beau supplier, faire des crises, faire les yeux doux aux médecins, rien à faire : ils ne voulaient pas que je sorte. Ils étaient persuadés que j'allais toujours mal, à cause de ma mine sans arrêt triste et de mes cernes omniprésentes. Vous voulez savoir la vérité ? La vérité, c'est que si j'étais crevée H24, c'était parce que Jake et moi on passait la nuit sur les toits du bâtiment, à refaire le monde. Comme on était toujours chez les psys le jour, fallait bien qu'on se voie de temps en temps, et la nuit c'était notre moment à nous. De ma chambre, on accédait facilement au toit, et on voyait les étoiles quand le ciel était clair. C'était bien. Jake hochait la tête quand je lui disais sans cesse que j'allais mieux, que j’enrageais de rester dans cet endroit sans raison aucune. Il savait que je voulais partir à tout prix, et j'avais l'impression que ça l'attristait, mais il ne le montrait pas. Ou en tout cas je ne le remarquais pas. Un soir, alors qu'on était encore sur le toit, j'étais vraiment à bout de nerfs, je lui ai confié une chose que je planifiais depuis des mois déjà. Alors que j'avais ma tête sur son épaule, je me suis relevée brusquement, les yeux brillants. « Jake ? » lui ai-je demandé. « Mmh ? » a-t-il répondu, un peu endormi. Faut dire qu'on était silencieux depuis quelques minutes, et que cela faisait depuis la tombée de la nuit qu'on était grimpés, le sommeil commençait à venir. Mais j'étais pas fatiguée. Je n'avais qu'une idée en tête. « Demain soir, je m'évade. »
Je pensais qu'il serait heureux pour moi, qu'il me questionnerait sur le moyen que j'avais trouvé pour m'enfuir. Jake aimait bien tout savoir sur moi, en fait. Pourtant il était pas du genre bavard avec les autres, mais avec moi il parlait des heures. Peut être qu'en bonne pipelette, je l'avais converti, allez savoir. En tout cas, à ce moment là, ses sourcils se haussèrent et il avait l'air contrarié, presque triste. Je vous avoue que ça m'a quelque peu déstabilisée. « Quoi ? » lui ai-je donc demandé, étonnée. Non pas que je doutais de ma décision. J'étais vraiment déterminée. « J'veux dire... Lucy, t'es sûre de vouloir faire ça ? » Sa voix ne tremblait pas, il avait pas l'air perturbé. J'ai repris le cours de ma pensée. « Tu sais que ça fait des mois que je veux me barrer. J'en peux plus, merde ! Je dois partir. Et crois moi, je partirai. » Sous entendu, avec ou sans ta permission quoi. Je comptais bien m'en aller de cet endroit, et tant pis si il était pas d'accord. Il se leva à son tour, et me regarda froidement, très froidement. En fait, il avait le même regard que celui qu'il avait lancé au mec qui m'avait empoigné, le jour où on s'est rencontrés, celui qui lançait des éclairs. Je vous avoue, c'était assez flippant quand on le fait sur vous. « Ok. Fais ce que tu veux alors. J'en ai rien à foutre, pars. » et il me contourna, puis entra à l'intérieur du bâtiment, sans dire un mot de plus. Et j'avais pas l'intention de le retenir. Ok, il me décevait, et j'avais l'impression de perdre mon meilleur ami, une partie de moi même depuis deux ans. Mais il aurait dû me comprendre, et si il ne pouvait pas, tant pis. Tout était prêt pour mon évasion. Une fois dehors, je m'étais promis de revenir voir Jake au moins une fois par semaine à Violet's, la nuit de préférence. C'était très facile d'entrer et de sortir, il faut dire que la pension était pas très sécurisée. Vous pensiez quoi ? J'avais plus de parents et pas de famille, j'étais allée là contre mon gré. J'allais pas payer un truc hors de prix juste pour vivre un calvaire. Quoi qu'il en soit, mon plan était tout prêt. Le lendemain vers 21 heures, je m'en irais. PLUS TARD, LE FAMEUX LENDEMAIN VERS 21H. Ça y'est, tout était prêt. J'avais fait mes bagages, ils étaient sous mon lit. J'avais étudié le plan de la clinique, c'était facile de sortir. Tout le monde était en visite médicale, à la cafétéria ou même couché, et Jake avait son rendez vous avec le psy à cette heure là. Non pas que j'aurai eu le risque de le croiser, je ne l'avais pas vu depuis qu'il s'était barré du toit, la nuit précédente, sûrement qu'il m'évitait. J'attendais sur mon lit qu'il soit 21 heures pile, j'étais précise et ponctuelle dans ces cas là. Il le fallait pour être discrète. J'avais déjà enfilé mon manteau et mes grosses boots, je m'étais préparée à marcher et à faire du stop. 21 heures sonnèrent à la petite pendule qui était accrochée en face de mon lit. Je me suis levée, vérifiant que je n'avais rien oublié. Sur ma table de nuit, une photo de moi et Jake, datant d'il y a un an. J'hésitais à la prendre, était-ce une bonne idée? Alors que je me posais cette question, on toqua trois coups discrets à la porte. Direct, j'ai sursauté. Le cadre est retombé sur ma table de nuit, heureusement pas brisé, et je me suis grouillée d'enlever mon manteau et de le fourrer sous mon lit, puis je me suis assise, cachant mes pieds avec la couverture. « Entrez ? » ai-je dit d'une voix un peu tremblante. Merde, je me trahissait moi même, ne plus je devais rougir jusqu'aux oreilles, pour changer. En voyant Jake apparaître dans la pièce, je ne put étouffer un soupir de soulagement, néanmoins la colère repris le dessus. Ça faisait quand même une journée entière qu'il ne m'avait pas adressé la parole, et mine de rien, c'était long. « Alors, tu viens me faire tes adieux ? » Un sourire ironique se dessina sur mon visage. J'étais vexée, certes, mais j'étais aussi contente qu'il soit venu. « J'dois te dire un truc. » Je haussai les sourcils, et m'assit mieux sur mon lit. « Ben, je t'écoute, accouche. » Je m'attendais à un truc du style que je devais pas partir, que c'était pas raisonnable et tout, mais en tout cas, pas du tout à ce qu'il allait prononcer. Il prit une grande inspiration et brusquement, je remarquai qu'il était au bord des larmes, comme si me parler était un déchirement intérieur, super. « Je t'aime. Voilà, je l'ai dit. » Boum, le choc, je vous raconte même pas le truc. C'était genre trop inopiné, mais j'étais à des kilomètres de deviner qu'il allait me déclarer sa flamme. Jake, c'était mon meilleur ami. Enfin, je supposais. Peut être que j'étais amoureuse de Jake, j'en savais rien bordel ! Je me suis jamais posé la question de savoir si je l'aimais ou pas, pour moi c'était encore Hyde, Hyde, Hyde. Il sortait pas de ma tête celui là, j'arrivais décidément pas à l'oublier, même dans un moment pareil, j'étais vraiment incorrigible. En tout cas, mon premier réflexe, ça a été de rire. C'était nerveux, on y pouvait rien, n'empêche que si lorsqu'il est entré j'étais rouge tomate, j'osais même pas imaginer ma gueule à cet instant précis. Je devais être vermillon comme des semelles de godasses Louboutin. « Je... J'sais pas vraiment quoi dire, enfin. » Je me suis levée et ai commencé à faire les 100 pas dans la pièce. J'étais obligée sinon j'allais trembler ou fondre en larmes, et ça allait pas être joli à voir. « Je veux dire, tu sais que j'ai encore des sentiments pour Hyde. » Et je m'attendais encore moins à ce qu'il s'est produit à ce moment là. Il m'a pris par le bras, et paf, il m'a embrassée, comme ça. Ça pour une surprise, je crois que j'avais eu mon quota pour 30 ans au moins. Le pire, c'est que je l'ai laissé faire. Enfin genre je l'ai pas repoussé tout de suite. C'était... C'était bien, en fait. Pas le genre désespéré nan, c'était même plutôt tendre, enfin en clair ça m'a plu quoi. Bon, voilà, Jake est un dieu du baiser, vous êtes contents ? Ca voulait pas dire que je l'aimais pour autant, hein. Si ? Roh, dans ma tête ça s'embrouillait grave. Quoi qu'il en soit, y'a bien eu un moment ou on a du s'arrêter. J'étais tellement étourdie que je saurais pas vous dire si je l'avais repoussé ou si je voulais juste reprendre mon souffle avant de continuer, mais en tout cas il s'est remis à parler, donc on a pas eu l'occase. C'était peut être mieux ainsi. « Ce Hyde dont tu m'as tant parlé n'était rien qu'un beau salaud, et faut t'y faire, Lucy. Y'a tellement de gens mieux que lui. » Des gens comme lui, c'est ça ? j'avais envie de lui rabattre son clapet, comme je le faisais souvent. Mais c'était pas le moment de dire ça alors que j'étais grave dans le brouillard, et une conne de larme s'est mis à rouler sur ma joue sans que j'ai pu la retenir. J'ai voulu l'enlever, mais il s'en est chargé avant moi. « Ecoute. Je te demande pas de m'aimer en retour, je comprends. Je veux juste que tu restes. Restes encore un peu ici, ok ? Pour moi. » Je savais même pas pourquoi je hochais la tête en signe de réponse positive, moi qui était aussi déterminée quelques minutes auparavant. Ce mec était hypnotique ou quoi ? Il arrivait à me faire changer d'avis, moi, une des meufs les plus têtues de la terre. Si mes proches avaient vu la scène, ils seraient en train de lui jeter des roses. Mais y'avait que nous dans ma chambre, à la clinique. J'avais même plus envie de partir, tout à coup. Il m'avait fait rester, c'était genre une victoire, il pouvait limite le marquer sur son CV. « Bien. Bon alors, j'te laisse... » Il s'éloignait vers la porte, le tête basse. « Jake, tu veux pas dormir avec moi ? » Croyez pas que c'était une invitation ou quelque chose de ce genre, pas du tout. C'était juste que si il s'en allait, je sentais que j'allais me barrer, vraiment. C'était peut être mieux pour tout le monde si il restait. Il se retourna et bizarrement, je le vis rire. « Ok. Si tu promets de pas me violer dans mon sommeil ! » Je levai les yeux au ciel, souriant néanmoins. C'était bien le genre de Jake de faire ces blagues. Faut croire que rien n'avait changé entre nous, finalement. « Eh, c'est toi qui est désespérément et éperdument amoureux de moi, j'te rappelle. » Il me tira la langue et s'affala sur mon lit, en mode j'suis-chez-moi quoi, normal le gars. « Tss, allez. Viens te coucher, grognasse. Mais avant, sors ton manteau de dessous ce lit, tu vas le froisser.» Il était même pas censé avoir vu. Si ça avait été une infirmière qui serait entrée à sa place, quelques minutes plus tôt, m'aurait-elle grillée également ? Pas sûr. Mais Jake il avait une espèce de pouvoir surnaturel pour deviner les choses. Plus celui d'apparaître comme un fantôme, celui de paralyser les gens avec ses yeux, et surtout celui de me rendre meilleure, ça faisait beaucoup.
Hyde n'a pas encore rencontré Jake, quand à Jake, il a entendu parler de Hyde et a juste envie de le tuer pour ce qu'il a fait à Lucy. Entre les deux garçons, une compétition va vite s'imposer, car étant tous les deux amoureux de la rousse, il ne peut y avoir qu'un seul gagnant. Jake n'est pas encore arrivé à Sunnyside, il va y rejoindre Lucy, les deux garçons ne se sont donc jamais croisés même si ils vivaient tous les deux à San Francisco avant. Hyde ne connaît pas l'existence de Jake, il ne sait pas que Lucy l'aime beaucoup et que le blond est totalement dingue de Lucy, il ne sait pas que Lucy lui a raconté son histoire et que Jake a juste envie de le tuer, d'un côté parce que Lucy n'arrive pas à l'oublier, de l'autre côté pour avoir brisé le coeur de sa rouquine. Mais en gros, la relation entre les deux sera très très tendue.
Dernière édition par C. Lucy Duncan le Dim 22 Juil - 13:39, édité 3 fois |
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❝C. Lucy Duncan❞ THE MAD GINGER ϟ CAPSLOCK HOLMES. ➜ Métier : étudiante en graphisme et design par correspondance avec QSan Francisco, stagiaire à la mise en page du journal de Sunnyside, et future animatrice sur la radio pirate. Accessoirement chieuse à plein temps et co-fondatrice du fan club du gros chat blanc qui danse.. ➜ Age : 21 ans. ➜ Statut : j'aime les pingouins. ➜ Messages : 151
| Sujet: Re: (m) E. Peters •• « nothing works without her, here ! None of this ! » Dim 22 Juil - 11:49 | |
| mes super conditions parce qu'il faut que tout soit parfait. bonjour bonsoir petit être de la forêt si tu es là c'est que tu as lu mon scénario et qu'il t'intéresse, je suppose, ou alors tu te fais chier bref si tu es dans le premier cas, merci merci je t'aime rien que de l'avoir regardé. Sache tout de même que je souhaite que tu remplisses quelques conditions pour jouer mon Jake chéri que j'aime. → primo, le prénom Jake n'est pas négociable. Je l'adore et je l'ai utilisé dans ma fiche, mais si vraiment il vous sort par les trous du nez, on s'arrangera, le reste est libre en tout cas. Jake c'est genre le prénom innocent t'sais, on dirait pas que c'est un freak. → deuxio, l'avatar n'est pas négociable non plus. Parce que Evan c'est mon mari un jour je l'épouserai, qu'il est juste parfait dans le rôle de Jake et qu'il a toutes les qualités. Et avouez, il est trop chou Evan, non ? → troisio (ça se dit pas ) je suis une fille qui a horreur des fautes, je vous jure ça me stresse bon j'avoue je fais moi même des fautes de temps en temps, surtout des fautes de frappe, mais je vous demanderai tout de même de surveiller votre orthographe, pitié pour mon petit coeur je me réserve le droit de vous refuser le scénario si vous faites trop de fautes, j'suis désolée mais c'est juste au dessus de mes forces → quatro, concernant la longueur des RPs, je suis pas très exigeante, le minimum accordé par le forum me suffit amplement, genre 20 lignes. Je suis pas quelqu'un qui fait des super romans en général, c'est surtout en fonction de l'inspiration, j'peux vous faire un truc de 500 mots comme de 3000, donc on verra bien en fonction des RP vous voyez. D'ailleurs, pour l'évolution du scénario, je sais pas encore si Lucy finira avec Hyde, Jake, ou aucun des deux, je vous l'avoue. DONC. On verra au fil des RPs quoi. C'est ça qui est boooon → cinquo, pour votre présence, genre si vous allez dans le flood ou la partie communication une fois par semaine ça me va. Je suis moi même quelqu'un de plutôt présent donc je serai là pour vous répondre vous répondez aux RPs quand vous voulez je suis pas quelqu'un qui demande la lune, et j'avoue faire traîner mes réponses parfois quand j'ai la flemme (je suis une grande flemmarde, bouh ) mais j'vous promets d'être là pour vous owi, parce que je vous aime déjà. → et pour finir, si vous prenez mon scénario de mon Jake que j'aime, je vous BZZZZZZZ. Non j'parle pas du bourdonnement à la Maya l'abeille mais du CUUUUL demandez aux autres, je viole tout le monde, c'est dans ma nature et franchement si vous prenez mon scénario n'héistez pas à me Mpotter j'adooore parler si vous prenez Jake, vous êtes sûrs d'avoir un accueil excellentissime, en particulier sur la CB parce que la CB c'est trop mon territoire voilàààà, alors n'hésitez pas et viendez viendeeeeez dans mes draps bras |
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❝Invité❞ Invité
| Sujet: Re: (m) E. Peters •• « nothing works without her, here ! None of this ! » Dim 22 Juil - 19:58 | |
| Ce scénario est une perle. Je suis là si tu veux de moi est-ce que le nom de famille te convient? |
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❝C. Lucy Duncan❞ THE MAD GINGER ϟ CAPSLOCK HOLMES. ➜ Métier : étudiante en graphisme et design par correspondance avec QSan Francisco, stagiaire à la mise en page du journal de Sunnyside, et future animatrice sur la radio pirate. Accessoirement chieuse à plein temps et co-fondatrice du fan club du gros chat blanc qui danse.. ➜ Age : 21 ans. ➜ Statut : j'aime les pingouins. ➜ Messages : 151
| Sujet: Re: (m) E. Peters •• « nothing works without her, here ! None of this ! » Lun 23 Juil - 7:38 | |
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| Sujet: Re: (m) E. Peters •• « nothing works without her, here ! None of this ! » | |
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