« Tiens, tiens regarde ce que j'ai trouvé derrière ton lit ? Roudoudou fitness, ne t'avises plus de le perdre jeune fille ! »  la mère d'Avalon riait doucement, elle lui tendait son doudou alors que celle-ci souriais grandement. Son doudou c'était son plus grand ami, sa soeur avait disparu depuis quelque mois déjà et même si sa mère et la police se donner un mal fou à la chercher, en vain. C'était un mercredi après midi et la jeune fille, encore petite et naïf en ce temps là n'avais rien d'autre à faire que passer ses journées devant la télé. Pour dire vrais, Avalon a toujours été comme cela, toujours gentille, douce et ce n'était pas le genre de fille à chercher des problèmes. Elle aimait la simplicité et avais un coeur grand comme le monde, c'était une fille agréable à vivre et voyez le bien dans tout le monde. La disparition de sa soeur ne l'infecté pas plus que ça, elle se disait qu'elle était partie en mission secrète et qu'elle reviendrait en déclarant avoir sauvé le monde. Ce qui n'était pas le cas de sa mère qui faisait les cent pas devant le téléphone tous les jours, dans l'espoir qu'on l'appelle et qu'on lui annonce que sa fille est seine et sauf. Mais plus les jours passer, plus celle-ci perdais espoirs. « Maman, on peut perdre des choses pas vrai ? ? » le petit bout de personne ne faufiler dans le lit de sa mère, celle-ci lisait encore et encore les journaux encore dans son espoir de voir la tête de sa fille dans les nouvelles. « Oui bien sur, si tu perd quelque chose c'est que tu n'as pas attention. Ce n'est pas de ta faute. Pourquoi ? » elle laisser tomber son journal au sol pour se mettre face à sa fille, d'un coup de main elle baillé les mèches qui retomber sur le visage de son petit amour. Avalon se mit à sourire. « Et bien alors, c'est pas de ta faute si on a perdu Samara maman. » sous ses mot, la jeune femme levais les yeux vers sa fille. Si petite et si innocente mais comme on dit, la vérité sors de la bouche des enfants. « C'est différent ma puce.. ta sœur n'est pas un objet.. et je n'aurais jamais du égaré comme tel. » c'est sur ses mots que celle-ci clos la discutions. Elle demanda à sa fille de sortir de la chambre et appela une dernière fois le poste de police. « On ne l'as toujours pas retrouver madame, et nous allons en rester là... Cette histoire a déjà duré cinq mois.. » c'est un regard remplis de désespoir que la jeune femme regarda sa fille, elle était de dos et c'était endormie devant la télé. Elle lui embrassa doucement la tête, caressant sa douce chevelure. Son mari ne rentré que le lendemain, toujours occupé dans son travail ou soul dans son bureau, la jeune femme ne pouvais en aucun cas compté sur sa présence. Elle décida de tout faire elle même, elle allais chercher sa fille seule. Et ce fut sa mission pendant trois longue année, jusqu'à un beau jour ou la pression vue de trop, que le manque l'avais envahie et que la culpabilité de ne pas êtres une bonne mère l'avais détruite. Un mercredi matin, identique a tout les autres, elle se donna la mort dans la salle de bain.

A la mort de maman, une tonne de gens sont venue nous voir. Des gens que je connaissait même pas, mais qui était en pleure devant sa carcasse morte. Mon père était tout sauf triste, il était muet, il était en colère, désespère, ironique, inconscient de la situation présente, tout sauf triste. Quand les personnes venue dire « désoler que ta mère soit morte, reste forte.. » finissait par s'en allait, ils passèrent vers mon père qui secoué la tête sans savoir quoi faire. Il était tout sauf triste. Au milieu du discourt du prêtre, il s'était lever et avait bue tout le vin destiné au invité, je ne réagissait pas. Il a toujours était comme ça et ce n'est pas à moi, du haut de mes dix ans de lui dire comment se comportait, nous n'étions plus que deux et nous étions aussi désespère l'un que l'autre, mais dans cette famille il n'y a pas d'entraide. J’essaye de voir le bon coté des choses mais rien, le lendemain à l'école tout le monde me regarder avec cette air de désolé, de pitié, je haïssait cela mais je suis obliger de garder le sourire. Ah quoi bon faire la tronche dans toute l'école ? Ce n'est pas de leur faute si elle a décidé de se tuée dans la salle de bain, ce n'est que de la sienne. Elle est juste elle. J'aimerais la voir, là tout de suite là maintenant. Pour ne pas dire qu'elle me manque, ou toute ses autre connerie, juste pour lui dire d'aller se faire foutre et que je là hais. Il n'y avais plus qu'elle et moi contre le monde et maintenant il n'y a plus que moi. Les personnes autours de moi, ce sont mise à me ménager, quand j’oubliai de faire mes devoirs ou encore quand j'oubliai mes affaires de sport un jour ou on avais que ça, on passait. « On peut tous faire des erreurs.. » - « Ce n'est qu'un oublie, tu peut rester assise. » - « C'est humain d'oublier Petrova, tu peut lire un livre si tu veux ! » tout ça pour ne pas dire « Ta mère est morte, tu peut t’asseoir. » Cette pité que les gens avais envers moi, j'en on avait plus qu'assez. A la fin je finissez par me montré méchante lorsqu'on évoqué le sujet « maman est morte » lançais-je sur un ton des plus normal, comme si je disait maman est aller faire au marcher ou encore, maman est au toilette. Je paraissais pour une monstre au cœur de pierre, mais cette phase de ma vite est vite passer. La seule qui me comprenez vraiment c'était Cory. Mine de rien, c'est quand même ma meilleure amie depuis toujours. C'est la seule à ne pas me pleuré dessus, ou qui me regarder avec des yeux de compation. Les gens compatit car je n'avais plus qu'elle, mon père c'était secondaire, à ma naissance il était presque pas là, toujours à magouiller dans son quoi. Dans son bureau qui sentais les herbe pas fraîches. Son bureau était toujours recouvert d'une grosse buée qui sentais affreusement mauvais et y avais toujours des gens louches qui traîner dedans. Des gars baraquer avec des costard et des lunettes de soleil alors qu'ils sont à l'intérieur, faudra m'expliquer un jour ou ils on chercher cette putain de logique. Quand il n'y avais qu'eux chez nous, je m'évader avec Cory dans les prés. On s'allonger sur l'herbe fraîche avec des pringles et on regarde les nuages. Puis on leur devine ds formes et on s'éclate a faire des histoires tordue. Des fois on voyez des choses vachement marrante, comme des tortues déguisé en princesse ou encore Mario bross qui baise avec la princesse Pitch. Et on se marré, encore et encore. Cory, elle est folle c'est pour ça que je l'aime, elle arrive à faire sortir mon esprit même juste pour un cour instant avec ses conneries à la pelle. « Tu sais ma petite Ava d'amour, parfois j'aimerais tout plaquer. Et aller vivre dans un ananas au fond des océans avec Bob l'éponge ! » je pouffais de rire, Coco a toujours eu des idées tordues. « Ah bon ? Moi je préfère tout plaquer et commencer mon voyage pokémon ! » on riais, toujours et tout le temps. Mais comme toute bonne histoire y a toujours un truc qui cloche : la réalité. En rentrant chez moi, la maison me sembler bien vide. Sans maman ça l'était déjà mais en plus mon père avait revendue plusieurs des meubles pour payer ses dette d'après lui. En rentrant donc, je n'avais plus que le canapé et la télé dans une pièce totalement vide. Il n'avais pas toucher à ma chambre c'était déjà bien, je ne me montré pas rebelle ni même autoritaire mais y a des limites à la connerie, enfin sauf pour mon père. Si je l'avais laisser il aurais déjà vendu toute les affaires de maman, je l'ai avait donc bien cacher dans mon armoire. Les choses les plus importante de sa vie, que j'avais cacher dans une boîte. Dans les semaines qui suivirent je fut envahie par une grande émotion, plus forte que la tristesse, plus violente que la mélancolie. C'était du a une phrase que j'avais lue dans un des bouquins que maman avant écris, les poèmes qu'elle aimais le plus, plié en quatre dans un livre qu'elle avais caché au yeux de tous. « Je connaissais l'exagération humaine concernant le manque d'un êtres cher. » disait le bouqin. « Mais j'avais toujours cru qu'il s'agissait d'une métaphore, d'une image qui n'avait aucun lien physiologique... Je ne m'attendais donc pas à ressentir cette douleur dans la poitrine. La nausée, oui, la boule dans la gorge, oui, les larmes brûlantes dans les yeux, oui. Mais pas cette sensation que quelque chose se déchirait dans ma cage thoracique. » C'était ça, c'était totalement ça, la vérité sur ce qui m'arrivé en ce moment. Toute ses fois ou je regarder les étoiles en pensant a ma mère c'était ça le manque. C'était qui me ronger, elle me manquais, elle me manquais affreusement et j'avais l'impression que c'était une partit de moi qui est partit avec elle.

Je suis une fille très organisé, depuis que maman n'est plus là je suis devenue une fille très organisé. Je suis une vrais débrouillarde, j'arrive à tout faire moi même. Mon père n’émerge qu'à seize heure tout les jours quand je rentre de l'école, à onze ans j'ai appris à tout géré toute seule. J'ai plus peur d'utilisé le gaz et j'arrive à imité la signature de mon père pour les devoirs, personne ne sais que notre maison est devenue un taudis, je prend bien soin de le caché à tout le monde, même Cory ne le savais pas. Elle croyez en venant notre salon vide que j'avais tout envoyez lavé chez un laveur professionnelle de meuble. C'est nul comme excuse mais elle y a gobé, elle trouve que c'est même cool. Maman c'est du passé, j'essaye de retire toute mes envies de pleuré à chaque fois que je pense à elle, c'est vrais que pendant trois mois je n'ai osé entré dans la salle de bain, je prenez des douches tout les samedi soir quand j'allais dormir chez Cory. Si vraiment j’empestai, je préféré encore prendre une douche dans le jardin habille sous l'arrosoir automatique. Ce lieu était devenue un lieu émotionnellement dangereux. « Ba alors va prendre ta douche, tu sent le vielle égout boucher ! » marmonner mon père dans sa barbe de trois jours. Qu'est ce que je raconte ? De trois semaine plutôt. Le parrain de la mafia était devenue un pions russe, et tout ça à cause de sa femme. Je n'avais aucune idée de ce qu'il faisait quand j'allais me coucher, des tonnes de personnes venez chez nous le soir et j'entendais des bruit de verre et de bouteille qui se toucher l'un en l'autre. Le lendemain une pile de verre salle et des cendrier remplis, voilà le spectacle auquel j'avais droit au petit déjeuner. Mais j'avais toujours la positive attitude arriver à l'école, car pour la deuxième fois ce n'est pas de leurs faute si ma vie est devenue ainsi. D'ailleurs, ils ne faisaient que m'aidais encore et encore. Depuis trois semaine environs, je voyez la directrice adjoint et une petite minette blonde toujours en jupe, c'était une conseillère d'orientation ou je ne sais plus exactement. Elle me posé une tonne de question auquel je devais répondre franchement et ça tout les mardi matin pendant que les autres avant gym. « Il travail ton papa ? » - « Euh.. je sais pas vraiment, en faite il dors beaucoup pendant la journée et il se réveil à 16h tout les jours pour goutté avec moi. » - «  je voit.. » elle gribouillé je ne sais quoi sur son carnet qu'elle avais toujours dans la main, au début je penser qu'elle faisait des dessins, par la suite j'ai compris qu'elle prenez des notes. « Et vous mangez toujours ensemble ? » - «  A Midi je mange chez Cory, Cory Johnson. C'est ma meilleure amie et le soir je mange se qu'y a, il a toujours des pattes en boîte ou des pasta box. C'est super bon ! » - « Pas de légume ? » - « Les tomates c'est un légume ? » - « Oui... on peut dire. » - « Alors oui, dans la sauce bolo y a des légumes ! » Elle me faisait un sourire non-satisfaite et finissait par me lâcher une heure après. Je l'aimais bien elle avais, mais c'était avant qu'elle décide de changer ma vie cette petite traîne. Le lendemain en rentrant chez moi, j'apercevais des voitures de polices tout autours de notre taudis. C'était un mercredi et je rentré de deux heures de leçon de piano gratuit offert par les voisin de Coco, je pénétré dans la maison qui était pleine de ses petit merdeux, ils farfouiller et renverser tout sur leurs passages. A leurs tête, cette vielle garce en jupe trop courte. Sans attendre je me précipité dans ma chambre ou tout avais déjà était mis en dessus dessous, mes cahiers, mes photos, les poèmes de maman. Mon cœur se serras très fort et j’arrivai à peine a respiré. Je dévalé les escalier pour gifler cette vielle peau mais manque de chance elle était plus forte que moi. J’étais si.. si naïve de faire confiance a cette femme. En faite je suis si naïve de croire que mon père allais bien s’occupe de moi, que j'allais réussir à survivre dans ce monde de dingue juste avec un doux sourire ! Suis-je si débile ? Elle stopper mon bras alors que je retenez mes larmes. Sa main descendais doucement jusqu'à la mienne et nous nous dirigeons à sa voiture. « Vous êtes une sale pute ! » - « Doucement avec les mots ma petite. Je te sauve, est-ce qu'une ''sale pute'' te sauverais ? Non elle te proposerais ses services. » j'hausser les épaules, serrans mon sac entre mes doigts. « On va mettre de l'ordre dans toute tes affaires Avalon, ne t'en fait pas. Pour le moment tu va vivre dans un foyer d'accueil  et dès demain on iras te trouver une nouvelle famille. » - « pourquoi? Je suis bien là. » - « Tu compte vivre dans ce taudis toute ta vie ? Et puis la police est venu parce que ton père doit beaucoup d'argent à certaine personne et qu'il vend de la drogue pour s'en sortir. On ne faisait que chercher des preuves. Tu va voir, on va te trouver une belle famille, avec plein d'enfant et tu pourrais êtres heureuse comme il le faut. » Mon père fait du trafic de drogue dans la même maison que moi ? Et dire que je vivait dans cette maison. Si ça ce trouve je suis droguer mais je le sais même pas.. quoi qu'il on soit, j'espère que c'est le début de quelque chose de bien.

J'ai trouver l'endroit le plus triste du monde, moi qui pensez que c'était le cimetière détrompez vous. C'est le foyer d’accueil ! Plein de jeune triste et qui se pose une tonne de question dans la même pièce, des esprit troublé et perdue qui s’isolait dans cette espace commun en attente d'un miracle ou plutôt d'une solution. On aurais dit un dépotoir à âme sensible et perdue. J'aurais juré que toute cette histoire duré depuis des années, là-bas il n'y avais pas une lueur désespoir et de joie, que des tête de mort-vivant ! Ma seule satisfaction était de savoir que je pouvais appelé Cory tout les jours, au file du temps j'avais appris à me bâtir autours de cette fille et de savoir que je ne pourrais plus la voir pendant quelque temps, me brisé en mille morceau. Elle me raconté tout à toute vitesse, nous n'avions que cinq minutes d’appel gratuit par jour, tout allais mal là ba aussi, elle n'avais plus personne avec qui parler, elle était triste de ne pas avoir de la compagnie au déjeuner et plus personne avec qui regarder les télé-réalité trop débile. Je lui manqué d'après ses fait mais elle me manqué encore plus, car ici je n'avais vraiment personne. L'assistance sociale, m'avais donner rapidement des nouvelles de mon père. Il sait fait arrêter pour trafic illégale de drogue et est envoyez au tribunal dans deux semaine, en attendant il est en garde à vue dans les prisons de l'état. Ma garde lui a bien évidement était enlever et je suis donc ici pour le reste de ma vie étant donner que mes grand parents vivent en Australie et ne sont pas en mesure de prendre soin de moi. J'étais donc devenue une âme perdue. Je devait attendre que quelqu'un veuille bien de moi et s'occuper de ma personne pour le restant de mes jours. J'avais déjà vue plusieurs film sur ce thème, « enfant abandonner » et dans la plupart de ses films, les petites prés - ados de mon genre se retrouver ou avec des pédophiles, ou avec des personnes qui les faisait travaillé illégalement et contre leurs grès dans un fast-food loin de la vie humaine. Ou dans les pires des cas, je finirais vendeuse d'herbe comme mon père. Je soupirais à cette idée. Mon espace de vie se limité à un lit une place près d'une fenêtres qui donner sur la rue. Tout les jours je voyais des enfants aller à l'école avec leurs parents, dans quelque mois j'aurais douze ans et j'entrerais enfin au collège. Dans la vie d'un gamin normal c'est déjà un grand changement le collège, au niveau de l'emploie du temps, des plusieurs matière qu'on rajoute/efface, des multiples professeurs, dans ma vie ce ne sera qu'un changement de classe comme un autre, car pour le moment y a trop de VRAIS changement dans celle-ci pour que je décide qu'un simple changement d'établissement soit un vrais changement. Je pense que j'ai utilisé trop de fois le mot changement. Mais c'est un bon mot, avec beaucoup de sens. Une jeune fille assez jeune c'était assise sur mon lit, elle porter une étiquette avec son nom et '' conseiller à la jeunesse '' près de celui-ci. Je n'avais aucune idée ce que c'était mais j'étais à moitié endormis sur mon lit lorsque celle-ci faisait son entré. « Avalon, c'est l'heure prend tes affaires. » je me redresser et obéis sans branché. Comme l'avais promis l'assistante sociale, toute mes affaires m'en était rendue et dans une grosse boite en carton très pratique à porter. Toute ma vie tenez entre ses quatre morceau de papier dur. « Tu as beaucoup de chance, normalement on attend deux trois ans avant de proposer ton genre de dossier. Mais le couple à insister à voir ton dossier, c'est sûrement à cause du jolie sourire que tu présente dessus ! » je fis un sourire léger à sa remarquer, même si tout ce que j'ai traverser à était très dur, je garder le sourire pour la simple raison que je ne veux pas devenir ce genre de fille qui boude contre le monde parce qu'elle est tomber dans la malchance. « faut toujours garder le sourire dans n'importe qu'elle situation. » répliquai-je. Nous nous trouvions à l'entré, un couple assez frai était là. Robe d'été pour la femme et jean, chemise de bûcherons pour l'homme. Ils affichèrent un sourire émerveiller à ma vue et pousser un gémissement de contemplation et de satisfaction. Comme-ci il venez de trouver la perle rare. «  Avalon, je te présente Grace et Jim Mellark. » - « En..enchanté. » marmonnai-je doucement alors que le monsieur me débarrasser de mon carton. Dans l'heure qui suivie, nous nous retrouvions à remplir quelque papier et me voilà dans ma nouvelle famille. Je ne savais pas vraiment comment je devais réagir face à tout cela, j'aurais peut-êtres sauté de joie ou pleuré comme dans les films mais je fut momentanément sous le choque. Tout le long du trajet, je faisait un silence radio alors qu'eux me raconte des tonnes de chose que je n'écouter que d'un oreille. C'est partit pour une nouvelle vie.

« Alors ta chambre de te plais petite puce ? » Grace s'adosser à la porte de ma nouvelle chambre un grand sourire au lèvre. Ça faisait déjà une semaine que je dormais dedans mais je ne me suis jamais poser la question si elle me plaisait ou pas. Si je compare a toute les chambre que j'ai eu dans ma vie, celle-ci était la meilleure. Elle était rose, mais pas le rose bonbon gamin, plutôt un rose classe et chic comme sur les cupcake, au dessus de mon lit j'avais des étoiles qui briller le soir ça par contre ça faisait un peu gamin mais elle ne briller que cinq minute tout les soir après que la lampe soit éteinte, c'est près de ma fenêtre que j'avais mon placard le genre de placard qui faisait banquette comme dans les film d'ado, et pour finir j'avais une salle de bain mais je devait la partager avec une autre fille que je n'avais pas encore vue. C'était leur vrais vie, j'avais vue les photos dans l'entré, d'ailleurs elle revenez bientôt et quand elle seras de retour, ils ont promis qu'on feras une photo de ''famille'' pour qu'on l'accroche au mur avec les autres. J'avais vraiment une famille, un papa gentil et doux, une maman qui fait des gâteaux, et bientôt j'aurais la grande sœur dont j'ai toujours rêver. Est-ce que mes rêver était sur le point de se réalisé ? C'est ça le bonheur ? Un état d'esprit ? Je me poser plusieurs question sur mon arriver ici, c'est pour cela que je rester assez silencieuse au dîner/déjeuner mais au file du temps j'avais appris à les connaître et après avoir vue tout les frères et sœur de Jim et Grace, ainsi que mes nouveau grands parents je me sentez enfin chez moi. J'hésitais tout de même à appeler se couple « papa et maman » je sais pas, ça leurs feras peut êtres bizarre. Et je ne vais pas non plus demander « je peux vous appelez papa et maman ? » j'étais trop polie pour ce genre de chose. C'est alors que Pacey est arriver. C'était un samedi matin vers les six heure, Jim était aller la chercher à la gare et je m'était réveiller à cinq heure par les bruits du fouet qui claque à plusieurs reprise contre le bol de farine, c'était pas violent juste des petits fouap fouap fouap plusieurs fois de suite. En descendant les escalier a toute vitesse, je me suis rendue compte qu'elle était déborder, elle préparer le petite déjeuner et le déjeuner à la fois et entre les œuf bacon , les muffins au four et le poulet sauce béchamel sa tête et sa cuisine était sans dessus dessous. Je me précipité vers elle pour l'aidé à sortir les muffins du four et comme une bonne petite fille, je l'aidais à si retrouver. On échanger des fou rire lorsque j'avais fait tomber les spaghetti dans le broyeur d'ordure et lorsqu'elle aussi à son tours à renverser la sauce béchamel dans l'eau de vaisselle. Je croit que c'était l'un des pus beau moment que j'ai passer rien qu'avec Grace, c'est même dans cette élan de bonne humeur que j'avais lancer. « On est vraiment pas sortit de l’auberge man' ! » elle n'avais pas tilté sur le coup mais un sourire satisfait ce dessiner sur son visage. Quelque heure après Jim et ma nouvelle grande sœur était là. Elle était d'une beauté, mince, brune et des petit yeux amande. A peine passer la porte qu'elle venez me prendre dans ses bras, ses cheveux sentez la pêche, un parfum que j'adore. Quand j'étais et que je m'imaginer une grande sœur, je là voyez exactement comme ça. Un grand sourire, les cheveux qui sente la pêche, câline. Pacey passer ses bras autours de ma nuque avant d'embrasser très fort ma joue. « Je suis Pacey ! Je t'imaginer pas si petite, on fait presque la même taille ! Bon, c'est pas tout ça mais je meurt de faim et ça sent bon dit donc, laissez moi devinez : Muffin et œuf , bacon? Jadore ! » il m'as fallut, dix seconde pour l'aimais, dix seconde pour savoir que je serais bien si elle est là, dix seconde pour quitté sa perfection des yeux, dix seconde pour savoir qu'elle venez de changer ma vision des grandes sœurs, dix seconde pour bouleverser ma putain de vie.

Coucou ma grande sœur d'amour. :heart :
Bon.. comme tu le sais c'était la première semaine au collège! Contrairement à ce que je pouvais pensez ça c'est super bien passer. Je m'étais lever à cinq heure pour faire le tours du quartier comme tu me l'as montré en courant un peu, on peut pas vraiment dire que c'était un joggings parce que je trottiner plus qu'autre chose et qu'arriver à la maison j'ai engloutis une dizaine de muffins chocolat. Du coup j'avais encore plus des maux de ventre quand on est arrivé là bas. J'ai revue ma meilleure amie, tu sais Cory ! Je te l'ai présenter rapidement via skype, tu l'as reverras dans deux mois j'ai hâte de te voir. On est donc aller dans ma nouvelle salle de classe et comme je m'y attendez c'était une prof BARBANTE mais à mourir je peut pas te dire à quel point. Elle était vielle en plus, le visage tout ridé. Ah si on dirais un peu Susan Boyle en plus gros et en moins classe, on voit ses dessous de bras de là ou je suis assise. Elle a fait sa toute gentille devant les parents le matin, et BAM l'aprem elle a fait sa grosse mégère. « Sortez vos cahier de texte, j'ai dit CAHIER DE TEXTE ! Les agendas sont REFUSER, vous dirais à vos parents de vos en achetez dans le coin c'est pas cher ! » Nanméoh, elle se prend pour qui la grosse ? Heureusement j'étais de bonne humeur. On a manger des cordon bleu à midi, j'ai penser à toi pour le dessert ! On a eu des part de gâteaux à l'abricot comme ton shampoing. Je sais pas si t'as reçue mon mms, j'ai un vrais bg à coter de moi en phisique-chimie et il m'appelle : Ava ! « Salut Aval, t'es trop chouette ma poulette, t'es canon nikon. » Non il a pas vraiment dit ça, il a juste dit : « Salut Aval, t'as pas une cartouche d'entre à me prêter ? » ouai je sais, c'est moins classe que la haut mais c'est déjà beaucoup pour moi. Papa m'as monté ton ancien bureau dans ma chambre, il a dit que ça lui prendrais dix minutes mais en ce moment même, le bureau se trouve entre la porte du garage et ma chambre.. effectivement c'est assez éloigner. Du coup maman a appeler du voisinage mais ils ont aussi gaffer que papa, le bureau a était réduit en miette dans les escalier entre la cuisine et ma chambre et on a plus de porte qui sépare ma chambre et nos toilettes. BON, je positive encore parce qu'entre temps je suis dans ta chambre.. j'ai retrouver les photos de toi et moi à Disney-land c'était vraiment géniale. Et tu vas pas en croire tes yeux ma petite poules, j'ai réussis à apprendre le langage des signes.. Pour le moment je t’envoie pas de vidéo, c'est un grand chantier comme ma chambre. On va dire que c'est en cours ! J'espère pouvoir parler comme ça avec toi la prochaine fois que tu seras là, pour rien te cacher je sais dire que « salut ! Ça va ? » et « j'aime brad pitt » c'est assez simple encore mais quand je dit « j'aime Brad Pitt » au intello de mon collège, ils sourient bêtement. Alors que j'aime pas Brad Pitt, je sais pas ou j'avais la tête... Bref, avec Coco on a trouver un super passe temps : le scrapbooking, c'est l'art de peindre sur des objets ou des vêtements. On a fait des tee-shirt pour la gay-pride, je sais pas si ils vont aimais ! On a écris : « BI your self ! » c'est plus un slogan de bisexuelle mais bon. On fait ça a la main avec des paillettes et des strasses et j'ai écris un articles sur mon blog : dix bonne raison de faire ses fringues soit même ! Tous de même, on ne vas pas toujours dépendre de la société économique de ce pays ? Faut devenir écolo moi je dit. J'ai essayer y a deux semaines, j'ai pas manger de viande pendant UNE JOURNEE ! Je te promet c'était super dur, surtout quand maman fait ses boulettes de viande risotto, ne dit pas le contraire petite belette je sais que t'en raffole toi aussi. ON EST DES FAIBLES ! Bon voilà, tu me manques ma Pampampam d'amour. Je love zoubi.

Alors c'est comme ça l'amour ? Il part et il reviens vraiment ? Enfin, je ne pense pas qu'il reviendras, mais il est bien partit ça c'est sure. J'aurais peut êtres du réagir, faire quelque chose qui l'aurais vraiment fait changer d'avis, mais plus j'y repense et plus je me dit que j'étais faible. Et d'ailleurs, je le suis toujours ! Et je l'ai toujours était. J'étais partit à la recherche du grand amour, avec un grand A ! et quand je l'ai enfin trouver je n'ai pas sut comment m'en occupé, je l'ai laisser s'en allé avec un grand V comme va te faire foutre, je t'aime plus. Si on y réfléchis bien, c'est la faute mais aussi grâce à ce putain de destin ! Tout était de nouveau dans l'ordre dans ma vie. Mes parents adoptif était devenue mes parents ! J'avais oublié ce passé qui m’encombrai aussi douloureux qu'il soit et j'ai fait place à une toute nouvelle Avalon, une Avalon comparable à une boule de bonne humeur et de joie. Au file du temps, Grace avais finit par me connaître et me considéré comme sa fille. Elle avais décrété après ses années passer avec moi, que j'avais beau êtres responsable j'étais la fille la plus indécise qu'elle connaissait et Jim la soutenait à 200% ! Alors quand j'ai dit que je voulais faire de l'art en plus de mes cours au lycée. Ils m'ont regarder avec ce même regard la première fois que j'ai pris un corps de scrapbooking c'est à dire : « ce que tu fait est inutile ! » - « je croyez que tu voulais aidé l'humanité, en quoi dessiner des femmes nue est aidé l'humanité ? » - « ma chérie, je connais beaucoup de femme qui adorerais êtres médecin ! » - « est ce que tu as déjà envisager l'état de tes doigts après ? Tes mains son si fragile ma puce. » les parents, toujours aussi chiant ,mais qu'est ce que je l'ai aime. Et c'est ainsi qu'ont a déblatérais pendant trois heures sur d’éventuelle métier à prendre qui serais utile à la population : gardienne de zoo ! Voilà ce que mon père aimerais bien que je fasse, GARDIENNE DE ZOO, vous me voyez moi, dans ce genre de combinaison trop moche ? Au pire je pourrais devenir une vendeuse de ballon comme dans là-haut et ma vie serais coloré, toujours à travail sous le soleil, à me promener entre ses bêtes.. dit comme ça en dirais que j'adore ça mais pas du tout. Je hais l'idée de travail dans un endroit qui sent la croque de singe. Donc, je suis aller en cours préparatoire d'art ! Dans deux ans j'y vais officiellement en attendant je suis dans une pré-classe en art contemporaine. Ca se dérouler dans une université du coin, les élèves avais tous dans la vingtaine et moi j'en avais que quinze. Petite parmi les grands, je garde la tête haute, car pour êtres petite j'étais vraiment petite. C'était une des choses avec lequel j'avais discuté avec Pacey, pourquoi étais-je si petite ? Et maigre ! J'avais la peau sur les os, mais ça ce cacher bien avec un jean slim. Donc me voilà, toute rayonnante pour mon premier cours d'art, la prof était d'une horreur ! J'en perd mes mots, mais ses cheveux était filasse et rebelle et son pantalon tellement serre qu'on voyait la forme de sa chatte. On aurais dit une mauvaise hippies des années 80 et pourtant elle se prenez pas pour de la merde. « Je suis professeur ici depuis des lustres ! Je eu un pris pour meilleur professeur en.. » et blah blah, blah. Le destin m'avais poussé à sortir de la classe rapidement, elle était bombé alors on ne remarquer même pas ma présence. J'aurais pue partir à sortir de l'établissement et aller manger un kebab au resto du coin mais déambulé dans les couloirs sans surveillance me plaisent plus. Et puis si je ne l'avais pas fait, je ne le l'aurais pas vue lui. Lui et ses cheveux qui monté, lui qui était assis par terre son portable à la main sûrement entré d'envoyé un sms a je ne sais qui, lui et sa chemise noir et rouge tel un bûcheron, lui et son sourire lorsqu'il levais yeux vers moi. « ]Salut ! » - « salut. » ok, on se temps là j'imaginais pas que mon monde venez tout en point de changer. Alors que je passer mon chemin sans me retourner il me m'attraper le poignet et me fixer dans les yeux. C'est quoi son problème ? Attarder ou juste débile ? j''hésité a retirer ma main violemment, parce que ses doigts était encore si doux et que ses yeux était d'une couleurs magnifique. « tu le sent ? » de quoi, de quoi ????? Je secoué négativement la tête et finalement repris mon bras. C'est un fou je vous jure, un fou. « on se connais ? » - «  tu le sent ? » - « mais quoi ?? » - « ce qu'y a là? » - « le vent ? » - « NON, entre toi et moi. C'est chimique, c'est inexplicable. C'est comme si je t'avais chercher toute ma vie et que finalement te voilà. » on se regarder. Enfin lui me regarder avec un air de quelqu'un qui vient de trouver du pétrole et moi avec des airs de : je m’enfuis maintenant ou j’attends ? Je suis partit, en secouant la tête chassant cette scène de ma tête et pourtant, oui pourtant son visage me regardant me hanté l’esprit. Suis-je devenue folle ? Sérieux j'ai des problèmes ! J'ai essaye de comprendre le lendemain dans mon bain, peut êtres qu'il est trop inspiré par tout ce qu'ils lit et qu'il est devenue parano genre comme les films ou les mecs découvre qu'ils ont des super pouvoir ? Ça ferais de moi la rouquine dans spider man ou encore Elena Gilbert ? Je ferais une plus jolie Elena Gilbert que Nina Dobrev, c'est vrais ça. Elle a deux beau gosse et ça l'as rend barge, elle pourrais juste proposer un plan a trois et puis basta. Bref, je pense que ce garçon était trop inspiré, ou trop pète ! Ou juste trop quelque chose, personne dans ce bas monde aussi fou qu'il soit ne dit à a un inconnue que c'est la personne qu'ils cherchent depuis longtemps ! Je veut dire c'est presque comme une déclaration d'amour ! En ce temps là, je savait pas encore que c'était une déclaration d'amour à la Keelan. Je savais même pas qu'il s'appelle Keelan pour tout veux dire. On est jamais conscient quand on tombe sur le grand amour, on se pose toujours une tonne de question refusant de croire que ça arrive comme ça. C'est à cause de la télé tout ça, on nous fait croire au conte de fée, au prince charmant, au happy ending et après des célibataires font la fête, propage différent avis sur l'amour et ses conséquence ! Rappelle que le vrais amour comme dans les conte n'existe pas, que ceux à quoi on croit depuis toujours n'est que des conneries. Alors on a plus d'avis, on a plus de quoi penser on a juste le suicide et ça c'est le pire des remèdes. Le lendemain, j'y suis retournais et il était là. troisième rang, siège près de la fenêtre. Je me suis poser devant lui, par manque de chose c'était ça ou tout devant en face du prof. « Keelan Flicher.  » me murmurai t-il a l'oreille, je souriais à ses mots. « Avalon Petrova » je passer mes doigts sous la table et il fit de même pour rejoindre la mienne, ses doigts doux et délicats se serrez contre les miens et sans savoir pourquoi j'ai souris. 

« Avalon ? Mais qu'est ce que tu fiche là Bouriquet ? » Jude refermer la porte sur elle et se poser au sol près de moi. On garder un silence pendant plusieurs minutes, qui me paraissait une éternité. Nous n'étions pas vraiment dans une salle, c’était plus un cagibi pour ranger les ballais et les pelles, trop petite pour y êtres à deux mais l'espace était suffisante pour que Jude me prenne dans ses bras en m'offrant ses jambes sur lequel je poser ma tête trempé de larme. Est- ce que ça allais ? Je pense que non, en faite je suis sure que non ! Rien ne va depuis que Keelan a poser les pieds dans ma vie, et surtout rien ne va plus depuis qu'il a poser les mains sur mon cœur. Qui aurais dit qu'un première amour ferais-si mal ? Le silence rester là, Jude n'avais pas besoin de me parler pour comprendre que j'allais mal. Elle passer ses doigts dans mes cheveux pour les caresser doucement, les siens était attacher en chignon pour ne pas me gêner. C'était ce qui manquer dans ma vie : une personne qui me comprenez vraiment. Oui il y a Cory, oui il a Pacey mais ça ne suffisait plus. Cory me connais depuis toujours mais depuis qu'elle a sa vie amoureuse elle aussi, je passe en deuxième plan et je l'as comprend. Elle n'allais tout de même pas toujours me passer en première catégorie ? Elle doit vivre elle aussi et pas seulement s'occuper de savoir si moi j'allais bien ou pas. Et puis Pacey.. Pacey n'est jamais là. Son absence me perturbe chaque jour, car ce que je voudrais faire en me levant le matin c'est la prendre dans mes bras avant qu'on se dispute pour la salle de bain et qu'on finit par rigoler de nos insulté au petit déjeuner. Oui Pacey me manque affreusement et les mails et les sms ne me suffise plus dans l'instant présent. Ce qu'il me fallait, là tout de suite là maintenant c'était une présence qui pouvait me dire que ça va allais, même si rien ne va. Keelan avais bien joué avec moi, il m'avais utilisé pour rendre jaloux son ex copine et moi comme une idiote j'étais tomber dans le jeu. Ce qui me dérange dans tout ça, c'est qu'il n'as même pas daigner me le dire en face, un sms en plein cours de bio. « je te quitte, désoler. » t'es désoler ? Mais ça change tout mec, ça sauve le peuple ! Ça sauve les japonnais du tsunami, les enfants qui meurt de faim en Afrique, les orphelin à retrouver leurs parents, ça change TOUT ! Je soupirais et voilà que je me remettez à pleuré de plus belle. Jude me tendez un paquet de mouchoir que je n’hésitai pas à prendre pour essuie mon visage inondé. « Tu sais l'amour c'est toujours comme ça, ça part et ça revient comme une mauvaise toux ou encore des cafards ! » elle riait doucement, j'esquissait un sourire. Jude est une surveillante dans mon bahut, mais je là considère plus comme une très bonne amie, puisque sinon elle m'aurais dit de retourner en cours au lieu de rester entre deux ballet et un sceau d'eau. C'est elle qui m'as donner mon surnom officielle : Bouriquet. Non pas parce que j'ai une tête d'âne, mais parce que j'oublie tout , je perd tout  ! Comme Bouriquet qui a perdue sa queue, moi j’oublie toujours un manuelle de maths ou un pull et donc je me retrouve toujours en salle d'étude pour la plupart du temps avec elle. On avais rapidement sympathisé et on est devenue amie ! On est devenue amie parce qu'elle avais finit par en savoir plus sur moi que n'importe qui dans ce monde et qu'elle était la seule avec qui je pouvait parler de ma passion pour les compensé en peau de mouton. Je sais pas, mais je trouve que c'est beaucoup mieux que le synthétique et c'est plus robuste, même si les végétariens de la table C trouve que c'est ignoble de ma part. Je m'en fou et Jude s'en fou. On a prévue d'aller toute les deux à Rome pour les vacances de pâque et on iras s'acheter une tonne de chaussures ! C'est une personne géniale et j'ai bien fait de lui donner ma confiance et mon amour. On avais finit par se voir en dehors du lycée, elle a un appart très jolie et des poissons rouge adorable, dont un s'appelle Bubulle. C'est mon préféré, il fait plein de bulle quand il nage et quand il mange. Elle passer sa main dans ma nuque avant de me prendre dans ses bras, ses cheveux sentais la pêche. Un peu comme les cheveux de ma vrais maman, des souvenirs me remonté d'un coup. Ce qui n'était pas arriver depuis des années.. mais je chasser cette idée de ma tête. Elle venez d'une famille de riche à ce que j'ai pue comprendre, on avais aucun lien de sang même si nos visage était tout au point identique. D'ailleurs le directeur adjoint, moche et petit bonhomme n'arrêter pas de faire des remarques là dessus. Un vrais crétin. Jude c'est un peu comme une deuxième sœur, je l'aime de tout mon cœur et je voudrais al perdre pour rien au monde.

Mais peut être qu’on est mieux toute seule ? Oui on peut dormir en travers du lit, manger des biscottes toute la nuit, écouter la même chanson en boucle cent fois de suite , mais alors plus de caresses, plus de câlins , non , on n’est surement pas mieux , étendre le bras dans le grand lit et ne trouver personne , même pas quelqu’un qui m’énerve , même pas quelqu’un qui me dégoute , personne , non ce n’est sûrement pas mieux , moi j’ai besoin qu’on s’occupe de moi , qu’on m’aime ou qu’on me dégoûte , ou qu’on m’énerve ou qu’on me fasse rire , mais aussi qu’on me laisse tranquille , de quoi j’ai plus besoin , qu’on s’occupe de moi ou qu’on me laisse tranquille ?